Jusqu’il y a peu la transformation du lieu (notamment l’immobilier tertiaire) et des modes de travail était plutôt l’apanage des grandes entreprises et/ou des acteurs de la nouvelle économie. Parce que les bâtiments modernes et digitalisés étaient rares, plutôt réservés aux groupes souhaitant faire de leur siège une vitrine de leur savoir-faire. Parce que la qualité de vie au travail était plutôt mise en avant par les entreprises cherchant à attirer et conserver des profils rares. Parce que les nouveaux modes de travail étaient freinés par une vision de la productivité basée sur le présentiel plus que sur le « livrable ».
L’offre proposée par l’immobilier tertiaire a toutefois muté, notamment sous l’impulsion de technologies numériques arrivées à maturité à la fin des années 2010. L’impact de la technologie sur l’exploitation de l’immobilier est double : il vient remettre en cause la vision du bureau monolithique, dans lequel les usages sont prévisibles et statiques. Ensuite, il permet la collecte et le traitement de la data pour faire du bâtiment un réel outil de pilotage et de facilitation des usages. Dans cette mouvance, les coworkings ont fleuri en proposant un immobilier tourné vers le service et la consommation « à l’usage »…
L’EBG remercie tous les professionnels ayant participé aux ateliers (et conférences) et partagé leur expérience au bénéfice de notre communauté. Merci également à nos partenaires Capgemini, Kardham et Neo-Nomade d’avoir participé et animé ce nouveau cycle.
Avec 660 sociétés adhérentes, soit plus de 110000 professionnels actifs, l’EBG constitue depuis 20 ans le principal think-tank français sur l’innovation digitale.
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